2016 : Commémoration du cinquantenaire de la mort de Roland-Manuel
anniversaire inscrit au calendrier des
Commémorations nationales 2016
Commémorations nationales 2016
du Ministère de la Culture et de la Communication
Il étudia le
violon à Liège, puis, à la disparition de son père en 1905, il vint s’installer
à Paris avec sa mère, qui se remaria en 1910 avec Fernand Dreyfus (sans parenté avec le fameux capitaine Alfred Dreyfus). Il poursuivit ses études musicales à la Schola Cantorum, auprès
de Vincent d'Indy, Auguste Serieyx et Albert Roussel, qu'Erik Satie lui avait présenté. Roland-Manuel avait rencontré Erik Satie vers 1910 par le biais de la chanteuse Paulette Darty, mariée à Edouard Dreyfus, parent de Fernand Dreyfus. Roland-Manuel sera le premier à consacrer une monographie à Satie (plaquette d'une conférence donnée en 1916), dont il orchestrera plusieurs pièces. Satie lui dédiera la 1ère Gnossienne (1913), le premier volet de Chapitres tournés en tous sens (1913) et le premier volet des Trois Valses distinguées du précieux dégoûté (1914). Présenté par Erik Satie à
Maurice Ravel en 1911, Roland-Manuel en devint d’emblée un des très rares
élèves ainsi qu’un ami très proche, le premier biographe en 1914, le
confident de l’Esquisse autobiographique de
1928 et l'auteur de nombreux clichés de Ravel dès 1912. La mère de Roland-Manuel, Madame Fernand Dreyfus, fut marraine de guerre
de Maurice Ravel, qui lui adressa une abondante correspondance en 1916-1917 (correspondance
éditée par Jean Roy en 1986 -ouvrage épuisé-). Roland-Manuel se maria en 1916 à Suzanne Roux,
pianiste, écrivain (Le Trille du Diable, roman, 1946 ; Daniel Bohn, roman, 1950 ; Symphonie domestique, pièce radiophonique, 1959), décoratrice à l’Opéra-Comique (L'Heure espagnole de Ravel, 1945 ; La véridique histoire du docteur de Maurice Thiriet, 1959) et à l'Opéra (La nuit vénitienne de Maurice Thiriet, 1939 ; L'Heure espagnole de Ravel, 1958). Roland-Manuel et son épouse recevront souvent chez
eux de nombreux artistes, écrivains (dont Michel Leiris, cousin par alliance de
Roland-Manuel) et musiciens de leur temps, rue de Chazelles (domicile de la mère de Roland-Manuel), à Saint-Mandé (domicile des parents de Suzanne Roux) puis, à partir de
1921, rue de Bourgogne. Dans l’Eure (27), à une heure de route de Paris, la Villa « Le
Fresne » de Lyons-la-Forêt, résidence secondaire de la mère et du beau-père de
Roland-Manuel, accueillera Maurice Ravel à plusieurs reprises. Celui-ci y
composa même de la musique, achevant en 1917 Le Tombeau de Couperin commencé en 1914 (la 5e pièce, le Menuet, est dédié à Jean Dreyfus, fils de Fernand Dreyfus, mort sur le front en 1917), achevant en 1922 l’orchestration
des Tableaux d’une Exposition de
Moussorgsky et composant (en une journée) la Berceuse sur le nom de Fauré pour piano et violon dédiée à
Claude Roland Manuel (1922-2005), fils de Roland et Suzanne Roland-Manuel. Après la vente du Fresne en 1924, Roland-Manuel eut une résidence secondaire près de Fontainebleau à Saint-Pierre-les-Nemours, en Seine-et-Marne (77), où il reçut notamment Igor Stravinsky.
Suzanne Roland-Manuel, fabriquait d'originaux tableaux en chiffon, « poèmes à l’aiguille » et « poésies chiffonnées », ainsi que des poupées en chiffon d'environ 40 cm, dont beaucoup représentant des musiciens (la poupée à l'effigie de Florent Schmitt était réputée, d'après Henry Barraud). Elle exposa même ses créations à plusieurs reprises, notamment en avril 1932 à la Galerie d'art contemporain du 135 boulevard Raspail, en s'associant à Germaine Tailleferre, auteur de tableaux, « tapis à l’aiguille ». Suzanne Roland-Manuel offrit une de ces poupées à Maurice Ravel, toujours présente (sous une cloche de verre) sur son piano Erard au Belvédère de Montfort-l'Amaury : cette poupée représente Adélaïde, clin d’œil au ballet Adélaïde ou le langage des fleurs, orchestration des Valses nobles et sentimentales.
Suzanne Roland-Manuel, fabriquait d'originaux tableaux en chiffon, « poèmes à l’aiguille » et « poésies chiffonnées », ainsi que des poupées en chiffon d'environ 40 cm, dont beaucoup représentant des musiciens (la poupée à l'effigie de Florent Schmitt était réputée, d'après Henry Barraud). Elle exposa même ses créations à plusieurs reprises, notamment en avril 1932 à la Galerie d'art contemporain du 135 boulevard Raspail, en s'associant à Germaine Tailleferre, auteur de tableaux, « tapis à l’aiguille ». Suzanne Roland-Manuel offrit une de ces poupées à Maurice Ravel, toujours présente (sous une cloche de verre) sur son piano Erard au Belvédère de Montfort-l'Amaury : cette poupée représente Adélaïde, clin d’œil au ballet Adélaïde ou le langage des fleurs, orchestration des Valses nobles et sentimentales.
Adélaïde, poupée conçue par Suzanne Roland-Manuel offerte à Maurice Ravel |
Suzanne Roland-Manuel avait également conçu avant 1923 une poupée représentant Maurice Ravel, poupée aujourd'hui non localisée.
Pour l'anecdote, Roland-Manuel et son épouse firent partie des nombreux invités de la fameuse fête en l'honneur de Ravel organisée par la cantatrice Marcelle Gerar dans le jardin du Belvédère à Montfort-l'Amaury le 10 juin 1928 : lors de ce buffet champêtre, au retour de la triomphale tournée américaine de Ravel, surprise-partie connue sous le nom de L'Impromptu du Belvédère, Roland-Manuel et Arthur Honegger revêtirent les tabliers de cuisine de la fidèle gouvernante de Ravel, Mme Reveleau, et servirent le repas aux convives comme l'attestent des clichés pris pour l'occasion.
Roland-Manuel est
surtout connu comme critique musical, souvent clairvoyant sur ses contemporains
–de notre point de vue- (L’Œil de Veau
en 1912, L'Écho Musical de 1912 à 1919, L’Éclair de 1919 à 1925, Cahiers d'Art, Revue Musicale d’Henry Prunières, Revue Pleyel, Combat en 1944-1945, etc. etc.) et comme musicologue, membre de la
Société Française de Musicologie depuis 1937. Roland-Manuel fut l’un des
premiers critiques musicaux à s’intéresser, par exemple, à des musiciens tels
qu’Alexandre Tansman ou Arthur Honegger. Il fut, nous l'avons déjà dit, le premier biographe de Maurice Ravel auquel il consacra plusieurs monographies (1914 avec réédition en 1926, 1928, 1938 avec rééditions en 1948 et 2000). Il est moins connu que Roland-Manuel joua un rôle important dans la
rédaction de la Poétique musicale d’Igor
Stravinsky (récemment rééditée par Myriam Soumagnac).
DR Reproduction interdite sans autorisation |
Arthur Honegger et Roland-Manuel servant les convives de Ravel, Belvédère, 10/6/1928 |
Bon orateur et
prolifique conférencier, Roland-Manuel se distingua comme homme de radio après
la Deuxième Guerre Mondiale, au cours de laquelle il s’illustra dans la Résistance :
de 1944 à sa disparition en 1966, il anima, avec Nadia Tagrine, l’émission Plaisir de la Musique (dont un certain nombre d’entretiens ont
été publiés en quatre volumes –épuisés- parus au Seuil de 1947 à 1955) ; le dimanche 30 octobre 1966, deux jours avant sa mort, le mardi 1er novembre 1966, Roland-Manuel a, comme d'habitude, présenté son émission. L’INA
conserve de nombreux enregistrements radiophoniques de Roland-Manuel.
Parallèlement à la
radio, Roland-Manuel fut professeur d’esthétique musicale à la Sorbonne ainsi
qu’au Conservatoire de Paris de 1947 à 1961, et à la Schola Cantorum. Roland-Manuel dirigea le premier mémoire universitaire français sur Erik Satie, soutenu par Yves Gérard en 1958.
Parmi ses nombreuses
fonctions au service de la musique, Roland-Manuel fut président du Conseil
International de la Musique à l’UNESCO (1945-1952) et membre de l’Académie
Charles Cros. Il dirigea la collection Pour la Musique aux éditions Gallimard (1954-1964).
Roland-Manuel a beaucoup contribué à la connaissance et à la défense de la mémoire de Maurice Ravel, non seulement par ses écrits, conférences et émissions de radio, mais aussi par des actions plus symboliques, comme des discours à l'occasion de la date anniversaire de la disparition du musicien (28 décembre 1937) ou l'inauguration d'une plaque commémorative à la villa Le Fresne à Lyons-la-Forêt en 1963, en présence notamment des pianistes Marguerite Long et Jacques Février. Il fit partie des membres fondateurs de la première Fondation Maurice Ravel (1949-1955), aux côtés d'Edouard Ravel, frère du musicien, Paul Léon (président), Marguerite Long (vice-présidente), Lucien Garban (trésorier), René Dommange, Hélène Jourdan-Morhange, Mme Jacques Meyer, Léon Leyritz, Ida Rubinstein et Manuel Rosenthal. Il a également toujours accepté d'aider de ses conseils et souvenirs, ou par la communication de ses archives, les auteurs de monographies consacrées à Maurice Ravel : Madeleine Goss (1940), Hélène Jourdan-Morhange (1945), Frank Onnen (1947), René Chalupt et Marcelle Gerar (1956), Jules Van Ackere (1957), Arbie Orenstein (1966), etc. (Claude Roland-Manuel, fils de Roland-Manuel, a poursuivi cette mission auprès de Jean Roy, Marcel Marnat ou Myriam Soumagnac, et il est l'un des témoins de l'exceptionnel film documentaire Maurice Ravel. L'Homme et les Sortilèges de Paul Danblon et Alain Denis réalisé pour la RTBF en 1975). Suzanne Roland-Manuel réalisa, elle, des décors pour L'Heure espagnole de Ravel en 1945 à l'Opéra-Comique, décors réutilisés pour une représentation à l'Opéra Garnier en 1958 à l'occasion du 20e anniversaire de la mort de Ravel.
Roland-Manuel a beaucoup contribué à la connaissance et à la défense de la mémoire de Maurice Ravel, non seulement par ses écrits, conférences et émissions de radio, mais aussi par des actions plus symboliques, comme des discours à l'occasion de la date anniversaire de la disparition du musicien (28 décembre 1937) ou l'inauguration d'une plaque commémorative à la villa Le Fresne à Lyons-la-Forêt en 1963, en présence notamment des pianistes Marguerite Long et Jacques Février. Il fit partie des membres fondateurs de la première Fondation Maurice Ravel (1949-1955), aux côtés d'Edouard Ravel, frère du musicien, Paul Léon (président), Marguerite Long (vice-présidente), Lucien Garban (trésorier), René Dommange, Hélène Jourdan-Morhange, Mme Jacques Meyer, Léon Leyritz, Ida Rubinstein et Manuel Rosenthal. Il a également toujours accepté d'aider de ses conseils et souvenirs, ou par la communication de ses archives, les auteurs de monographies consacrées à Maurice Ravel : Madeleine Goss (1940), Hélène Jourdan-Morhange (1945), Frank Onnen (1947), René Chalupt et Marcelle Gerar (1956), Jules Van Ackere (1957), Arbie Orenstein (1966), etc. (Claude Roland-Manuel, fils de Roland-Manuel, a poursuivi cette mission auprès de Jean Roy, Marcel Marnat ou Myriam Soumagnac, et il est l'un des témoins de l'exceptionnel film documentaire Maurice Ravel. L'Homme et les Sortilèges de Paul Danblon et Alain Denis réalisé pour la RTBF en 1975). Suzanne Roland-Manuel réalisa, elle, des décors pour L'Heure espagnole de Ravel en 1945 à l'Opéra-Comique, décors réutilisés pour une représentation à l'Opéra Garnier en 1958 à l'occasion du 20e anniversaire de la mort de Ravel.
Il ne faut
pas oublier cependant que Roland-Manuel, de la même génération que les membres du Groupe
des Six, n'était pas qu'un musicologue, biographe de Ravel, homme de radio et pédagogue : il fut également un compositeur de grand talent, auteur d’une douzaine
de musiques de films. Roland-Manuel n’occupe sans doute pas aujourd’hui la
place qu’il mérite et le regretté Jean Roy est l’un des rares musicologues à
lui avoir porté de l'intérêt. Sans doute, peu savent que Ravel, le “cher maître”
de Roland-Manuel, l’a aidé dans ses premières œuvres, non seulement par ses
conseils, mais aussi par la relecture et correction de manuscrits comme Le Harem du Vice-Roi, poème symphonique
(1919). Mais, il ne faudrait pas écraser Roland-Manuel sous le poids de son
célèbre “maître” : sa musique a ses mérites propres, comme ses deux opéras
comiques Isabelle et Pantalon (1922)
et Le Diable amoureux (1929) le
démontrent. Mais ce n'est pas le lieu, ici, de développer cette question.
Avertissement : Ce texte volontairement très
synthétique n’a pour but que d’attirer l’attention des mélomanes sur un
compositeur trop négligé aujourd’hui. Une étude plus fournie et détaillée fera prochainement l'objet d'une publication.
Manuel Cornejo, chercheur sur Maurice Ravel et ses amis
Bibliographie de Roland-Manuel :
Maurice Ravel et son œuvre, Paris, Durand, 1914 (1ère
édition), 1926 (2e édition revue et augmentée). (ouvrage dédié à
Michel-Dimitri Calvocoressi et Émile Vuillermoz, critiques musicaux et amis de Ravel)
Erik Satie, causerie à la Société Lyre et Palette, 18 avril 1916.
(plaquette)
Arthur Honegger, Paris, Maurice Senart, 1924. (plaquette)
Maurice Ravel et son œuvre dramatique, Paris, Librairie de France,
1928. (dédié au compositeur Maurice Delage, autre élève et proche ami de
Maurice Ravel)
Manuel de Falla, Paris, Cahiers d’Art, 1930. (ouvrage dédié au critique musical espagnol Adolfo Salazar, proche ami de Manuel de Falla et ami de Maurice Ravel depuis 1924)
Tableau du XXe siècle 1900-1933. Les arts. La musique et la
danse, Paris, Denoël, 1933. (avec Pierre du Colombier)
À la Gloire de Ravel, Paris, Nouvelle Revue Critique, 1938. (dédié
à l’abbé Léonce Petit)
Ravel, Paris, Gallimard, 1948. (réédition de la monographie de
1938)
Plaisir de la Musique, Paris, Seuil, 1947-1955, 4 vols. (avec la
collaboration de Nadia Tagrine ; vol. I : Les éléments de la musique ; vol. II : La musique jusqu'à Beethoven,
1950 ; vol. III : De
Beethoven à nos jours, 1951 ; vol. IV : L'opéra)
Frédéric Chopin 1810-1849, Paris, UNESCO, 1949. (publication à l'occasion du centenaire de la disparition de Chopin)
Comment écoutez-vous la musique ?, Paris, Société française de diffusion musicale et artistique (Les Cahiers du Journal Musical Français, n°7), 1953.
Comment écoutez-vous la musique ?, Paris, Société française de diffusion musicale et artistique (Les Cahiers du Journal Musical Français, n°7), 1953.
Réflexions sur l'art musical, Lausanne, Éditions Rencontre
Lausanne, 1957, 121 p. (dessins et aquarelle de Raoul Dufy)
Sonate que me veux-tu ? Réflexions sur les fins et les moyens de
l'art musical, Lausanne, Editions Mermoz, 1957 ; réédition :
Paris, Editions Ivrea, 1996. Parmi les sites internet sur lesquels se procurer l'ouvrage : amazon
Histoire de la musique, Paris, Gallimard (Encyclopédie de La
Pléiade), 1960-1963, 2 vols. (ouvrage sous la direction de Roland-Manuel) Parmi les sites internet sur lesquels se procurer la réédition de cette histoire en livre de poche en 2001 dans la collection Folio Essais : amazon (vol. 1), amazon (vol. 2)
Ravel, préface et postface de Jean Roy, Paris, Mémoire du Livre (directeur : Pierre Belfond),
2000, 213 p. ISBN 2-913867-15-4 (réédition de la monographie de 1938) Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre indispensable : amazon
Bien que signée par Igor Stravinsky, il convient de citer l'édition de la Poétique musicale par Myriam Soumagnac, ouvrage dont la genèse doit beaucoup à la collaboration de Roland-Manuel, comme le prouvent des documents de l'ancienne collection Roland-Manuel aujourd'hui conservés à la Fondation Paul Sacher de Bâle : Igor Strawinsky, Poétique musicale sous forme de six leçons, édition établie, présentée et annotée par Myriam Soumagnac, Paris, Flammarion (Harmoniques), 2000 et réédition de 2011. ISBN 2-08-067271-1 Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre indispensable : amazon
Bien que signée par Igor Stravinsky, il convient de citer l'édition de la Poétique musicale par Myriam Soumagnac, ouvrage dont la genèse doit beaucoup à la collaboration de Roland-Manuel, comme le prouvent des documents de l'ancienne collection Roland-Manuel aujourd'hui conservés à la Fondation Paul Sacher de Bâle : Igor Strawinsky, Poétique musicale sous forme de six leçons, édition établie, présentée et annotée par Myriam Soumagnac, Paris, Flammarion (Harmoniques), 2000 et réédition de 2011. ISBN 2-08-067271-1 Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre indispensable : amazon
Bibliographie sélective sur
Roland-Manuel :
« Hommage à Roland-Manuel », Musica. Journal Musical Français, janvier 1967.
Robert Craft, « Roland-Manuel and the Poetics of Music » [from Igor Stravinsky], Perspectives of New Music, Vol. 21, No. 1/2 (Autumn, 1982 - Summer, 1983), p. 487-505. (avertissement : comme il est de notoriété publique et de longue date, les travaux de Robert Craft manquent singulièrement de rigueur scientifique et sont donc à prendre avec des pincettes)
« Hommage à Roland-Manuel », Musica. Journal Musical Français, janvier 1967.
Robert Craft, « Roland-Manuel and the Poetics of Music » [from Igor Stravinsky], Perspectives of New Music, Vol. 21, No. 1/2 (Autumn, 1982 - Summer, 1983), p. 487-505. (avertissement : comme il est de notoriété publique et de longue date, les travaux de Robert Craft manquent singulièrement de rigueur scientifique et sont donc à prendre avec des pincettes)
Maurice Ravel, Lettres à Roland-Manuel et à sa famille,
préface et notes de Jean Roy Quimper, Calligrammes, 1986. (épuisé)
Jean Roy, « Préface »,
« Postface », « Œuvres principales de Roland-Manuel »,
« Écrits de Roland-Manuel », dans Roland-Manuel, Ravel, Paris, Mémoire du Livre, 2000, p. 9-17 et p. 199-210.
Guy Privopissko et Daniel Virieux, « Musiciens : une profession en résistance ? », dans La vie musicale sous Vichy, sous la direction de Myriam Chimènes, Editions Complexe, 2001, p. 333-351. Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre collectif passionnant : amazon
Erik Satie, Correspondance presque complète, réunie, établie et présentée par Ornella Volta, Paris, Fayard-IMEC, 2003 (2e édition entièrement révisée). Voir outre les correspondances de Roland-Manuel et Mme Fernand Dreyfus, les notices qui leur sont consacrées, p. 1077-1094 et p. 814-819. Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre indispensable : amazon
R.L. Smith, « Roland-Manuel », New Grove online, 2004. (consultation en ligne payante)
Geneviève Bailly, Ravel à Lyons-la-Forêt, préface d'Oswald Sallaberger, Paris, Editions Freylin, 2012. (version remaniée d'une conférence donnée à la Société des Amis de Lyons le 3 novembre 1990 et publiée la première fois en 2007 aux éditions Freylin -tirage épuisé-) Pour se procurer l'ouvrage sur internet, se rendre sur le site des éditions Freylin, dirigées par Vincent Freylin, actuel président des Amis de Lyons : freylin
Dominique Escande, « Le Tournoi singulier de Roland Manuel et Foujita ou l’impossible compromis entre classicisme et modernité », communication à l’Observatoire Musical Français, Paris, Sorbonne, 12 mai 2012.
Guy Privopissko et Daniel Virieux, « Musiciens : une profession en résistance ? », dans La vie musicale sous Vichy, sous la direction de Myriam Chimènes, Editions Complexe, 2001, p. 333-351. Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre collectif passionnant : amazon
Erik Satie, Correspondance presque complète, réunie, établie et présentée par Ornella Volta, Paris, Fayard-IMEC, 2003 (2e édition entièrement révisée). Voir outre les correspondances de Roland-Manuel et Mme Fernand Dreyfus, les notices qui leur sont consacrées, p. 1077-1094 et p. 814-819. Parmi les sites internet sur lesquels se procurer ce livre indispensable : amazon
R.L. Smith, « Roland-Manuel », New Grove online, 2004. (consultation en ligne payante)
Geneviève Bailly, Ravel à Lyons-la-Forêt, préface d'Oswald Sallaberger, Paris, Editions Freylin, 2012. (version remaniée d'une conférence donnée à la Société des Amis de Lyons le 3 novembre 1990 et publiée la première fois en 2007 aux éditions Freylin -tirage épuisé-) Pour se procurer l'ouvrage sur internet, se rendre sur le site des éditions Freylin, dirigées par Vincent Freylin, actuel président des Amis de Lyons : freylin
Dominique Escande, « Le Tournoi singulier de Roland Manuel et Foujita ou l’impossible compromis entre classicisme et modernité », communication à l’Observatoire Musical Français, Paris, Sorbonne, 12 mai 2012.
Manuel Cornejo, « Une source ravélienne oubliée : les souvenirs de Sam Bottenheim, secrétaire de Willem Mengelberg », Cahiers Maurice Ravel, n°16, 2013-2014, p. 157-169.
Dominique Escande, « Isabelle et Pantalon de Roland Manuel et Max Jacob, un opéra-comique surréaliste ? », communication à l’Observatoire Musical Français, Paris, Sorbonne, 17 mai 2014.
Dominique Escande, « Isabelle et Pantalon de Roland Manuel et Max Jacob, un opéra-comique surréaliste ? », communication à l’Observatoire Musical Français, Paris, Sorbonne, 17 mai 2014.
Catalogue (non exhaustif) d’œuvres
de Roland-Manuel (en attendant la publication prochaine d’un catalogue
raisonné par Manuel Cornejo en collaboration avec la famille
Roland-Manuel) :
Orchestre
Farizade au sourire de rose, mélodies pour voix et orchestre (création par Jane Bathori aux concerts Vladimir Golschmann, 13 décembre 1919)
Le Harem du Vice-Roi, (1917-1919), inédit (une transcription pour deux pianos fut créée par Ricardo Viñes et Suzanne Roland-Manuel (épouse de l’auteur) à la Société Musicale Indépendante le 21 avril 1917 ; création de la version orchestrée aux Concerts Pasdeloup en 1919 sous la direction de Rhené-Baton).
Le Harem du Vice-Roi, (1917-1919), inédit (une transcription pour deux pianos fut créée par Ricardo Viñes et Suzanne Roland-Manuel (épouse de l’auteur) à la Société Musicale Indépendante le 21 avril 1917 ; création de la version orchestrée aux Concerts Pasdeloup en 1919 sous la direction de Rhené-Baton).
Tempo di
Ballo (© Heugel / désormais © Leduc, 1925).
Canarie,
de l’œuvre collective L’Éventail de Jeanne,
petit ballet pour enfants (© Heugel / désormais © Leduc), 1929 ; création
privée le 16 juin 1927 chez Mme Jeanne Dubost).
Concerto
pour piano et orchestre (1938 ; © Nouvelles Éditions
Méridian, 1957).
Peña de
Francia, suite pour orchestre, inédite.
Orchestrations
Prélude de La Porte héroïque du Ciel d’Erik Satie
2e et 3e Préludes
du Fils des Etoiles d’Erik Satie
(le 1er Prélude aurait été
orchestré par Maurice Ravel)
2e Gymnopédie d’Erik Satie
Divertissement romantique en
un acte, musique de Franz Schubert, inédit (création 12 octobre 1951 à
l’Opéra-Comique, chorégraphie de Jean-Jacques Etchevery, décors et costume de
Francine Gaillard-Risler)
Opéras
Isabelle
et Pantalon, opéra-bouffe sur un livret de Max Jacob (© Heugel /
désormais © Leduc, 1922 ; création au Trianon-Lyrique le 11 décembre
1922 ; représentation à l’Opéra-Comique, 22 mai 1959, mise en scène de
Paul-Emile Deiber, chorégraphie de Jacques Chazot, décors de Jean-Pierre
Ponnelle, costumes de Suzanne Roland-Manuel).
Le Diable
amoureux, opéra-comique sur un livret de Roger Allard d’après
Cazotte (1929, création d’extraits sous la direction de Pierre Monteux à la
tête de l’OSP en 1933), inédit.
Ballets
Le
Tournoi singulier, d’après le Débat de Folie et d’Amour, de Louise Labé, et La Fontaine,
chorégraphie de Jean Borlin, décors et costumes de Foujita (© Heugel /
désormais © Leduc, 1924 ; création le 19 novembre 1924 aux Ballets
Suédois ; création d’une suite tirée du ballet le 27 janvier 1927 aux
concerts Walter Straram avec Marthe Bréga, épouse de Maurice Jaubert, comme
soliste).
L’Écran
des jeunes filles, ballet en deux tableaux de Jacques Drésa,
chorégraphie de Léo Staats -dont ce fut le dernier ballet réglé pour l’Opéra de
Paris- (© Heugel / désormais © Leduc, 1929 ; création le 15 mai 1929 à
l’Opéra de Paris ; le ballet a également été joué en concert, par exemple
le 12 octobre 1930 sous la direction de Pierre Monteux à la tête de l’Orchestre
Symphonique de Paris).
Elvire,
ballet de Mme de Brimont sur des thèmes de Domenico Scarlatti,
chorégraphie d’Albert Aveline, décors et costumes d’après des maquettes de
Sigrist (1931, création le 8 février 1937 à l’Opéra de Paris sous la direction
de François Rühlmann).
Oratorio
Jeanne
d’Arc, oratorio pour chœur et orchestre, texte de Charles Péguy
(1937, représentations à la Comédie-Française en 1955).
Chœurs
Trois
Chansons (1. Aurore,
2. Beau cavalier, 3. Faulcette
confite) pour voix et chœur, inédites (créées par Mme
Vinaucourt à la Société Musicale Indépendante le 15 juin 1920).
Benedictiones
(La Rosée, La Neige, Les
Étoiles), chœur pour voix d’enfants ou de femmes a cappella
(1939). Voir infra « Discographie ».
Cantique
de la Sagesse, pour contralto, chœur et orchestre (1951).
Trois
Chansons populaires françaises (1. Je suis Robert, 2. Gentils gallans de France, 3. C’est la petit’fill’du prince), transcrites et
harmonisées pour chœur à trois voix (© Editions Françaises de Musique, 1952).
Musique de chambre
Trio (1. Allègrement, 2. Sarabande,
3. Ronde) pour violon, alto et
violoncelle (© Maurice Senart, 1919 ; création par Hélène
Jourdan-Morhange, Sigismond Jarecki et Félix Delgrange à la Société Musicale
Indépendante le 11 avril 1919, soit le jour de la création du Tombeau de
Couperin de Ravel par Marguerite Long), dédié à Maurice Ravel. Pour
découvrir ce trio sur internet, visitez les liens suivants : youtube1, youtube2 et youtube3. Se reporter
également infra à la rubrique « Discographie ».
Romance sans paroles, pour
violoncelle et piano (© Heugel / désormais © Leduc, 1926).
Suite dans le goût espagnol (Entradilla, Villancico,
Melodrama, Final), pour hautbois, basson, trompette et
clavecin, musique de scène pour Violante
d’Henri Géon (1933), inédite, création le 12 avril 1937 par Myrtil Morel,
Fernand Oubradous, M. Adriano et Madeleine Grovlez aux concerts du Triton à
l’Ecole Normale de Musique. Voir infra « Discographie ».
Fantaisie pour hautbois et piano (© Salabert, 1962). (morceau de concours au
Conservatoire de Paris)
Piano
Menuet sur le nom de RAVEL (1912), inédit. (création mondiale par Paul Beynet à Lyons-la-Forêt le 10 septembre 2016, concert organisé par l'association Les Amis de Lyons)
Hommage à Ravel ou la Soirée de Viroflay (1916), inédit, créé par Ricardo Viñes
(1919). (premier enregistrement mondial et radiodiffusion en direct par Vanessa Wagner, France Musique, 3 mai 2016, dans le cadre de la journée #FreeBolero, lien ; première audition publique depuis 1919 par Florent Nagel, Concert des Amis de Maurice Ravel, 18 novembre 2016, lien)
Idylles (1. Hommage à La Fontaine, dédié
au pianiste Ricardo Viñes, 2. Clarisse ou l’Hommage indiscret,
valse composée en 1916, dédiée au poète René Chalupt) (© Durand, 1919), pièces
créées par Ricardo Viñes en 1919.
Moria Blues, extrait du Tournoi singulier (© Heugel / désormais
© Leduc, 1925).
Nocturne (Interlude), extrait de
L’Ecran des Jeunes Filles (© Heugel / désormais © Leduc, 1929).
Nocturne,
extrait de L’Ecran des Jeunes Filles (© Heugel / désormais © Leduc,
1929), publié en supplément du périodique Le Ménestrel, 17 mai 1929.
Canarie, de l’œuvre collective L’Éventail de Jeanne,
petit ballet pour enfants (© Heugel / désormais© Leduc, 1929 ; réduction pour piano à 2 mains).
Partir
(© Choudens / désormais en représentation exclusive chez © Leduc, 1932).
Pluie
sur la ville (© Pierre Noël, 1944).
Mélodies pour voix et piano
Trois
Poèmes (1. Arbre, 2. Collier, 3. Septembre), inédits
(créés par Suzanne Vallin-Hekking en mai 1914).
Farizade au sourire de rose : Sept Poèmes de Perse (composition : 1914 ; © Durand, 1918) recueil dédié à Jane Bathori-Engel : Prélude, 1. La précaution vaine (René Chalupt) dédiée à Mimie Godebski, 2. Le danseur farouche (Valentine Gross) dédiée à Linette Chalupt, 3. La jalousie (Marcel Ormoy) dédiée à Suzanne Roux, 4. La comparaison amoureuse (André Biguet) dédiée à Gabrielle Rosenzweig, 5. La rose de Mossoul (Roland-Manuel*) dédiée à Cécile Bonnet, 6. Dans le silence mouillé du soir (Marcel Ormoy) dédiée à Rose Féart, 7. Les pantoufles de cristal (René Chalupt) dédiée à Elvira Viñes Soto. * Le nom du poète de La Rose de Mossoul est absent de la partition éditée mais, il s'agit bien de Roland-Manuel, selon un témoignage à Hélène Jourdan-Morhange.
Deux Rondels de Péronnelle d’Armentières (1362)
(© Durand, 1920 ; création par Jane Bathori et Germaine Tailleferre à la
Société Nationale de Musique le 30 mars 1920). L’exemplaire de cette partition
ayant appartenu à Maurice Ravel et avec envoi de Roland-Manuel a figuré au lot n°52 de la
vente aux enchères Maurice Ravel du 26 juin 2000, vente hautement suspecte et
curieusement non interdite, puisque l’intégralité des lots était constituée de
documents d’archives provenant des archives du compositeur au Belvédère de
Montfort-l’Amaury, propriété de la Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais
par legs du frère et unique héritier de Maurice Ravel, Edouard Ravel
(1878-1960) par volonté testamentaire du 18 juillet 1958.
Delie obiect de plus haulte vertu. Trois poèmes
de Maurice Scève (© Durand, 1923).
Trois romances de P.-J. Toulet
(© Durand, 1924).
Sonnet de Ronsard, « Dedans les
prés... », une des huit pièces du recueil collectif Tombeau de Ronsard
édité en supplément de la Revue Musicale
par Henry Prunières (© Heugel / désormais © Leduc, 1924 ; création par
Marcelle Gerar et Madeleine d’Aleman à la Société Musicale Indépendante le 7
mai 1924, concert où fut également créée par les mêmes interprètes la mélodie Ronsard
à son âme de Ravel). Pour entendre une interprétation de cette mélodie par
Brenda Witmer à Varengeville le 22 octobre 2006 dans le cadre du Festival
International Albert Roussel : dailymotion
Mélodies pour voix et flûte
Deux
élégies pour soprano avec accompagnement de flûte (1. Charmant rossignol, de François Maynard, 2. Chanson, de Jean Pellerin) (© Heugel /
désormais © Leduc, 1928 ; création privée des deux mélodies par Mlle
Laval et Marcel Moyse au domicile de Paul et Denyse Bertrand en février-mars
1927 ; création publique de la Chanson de Jean Pellerin par Jane Bathori
le 19 mars 1927, concert au cours duquel la cantatrice créa également la
mélodie Rêves de Ravel sur un poème de Léon-Paul Fargue)
Musiques de films
La Petite Lise, de Jean
Grémillon (1930).
Le Rêve, de Jacques de
Baroncelli (1931).
L’Ami Fritz, de Jacques de
Baroncelli (1933).
Roi de Camargue, de Jacques de
Baroncelli (1934). (musique écrite en collaboration avec Arthur Honegger)
Crainquebille, de Jacques de
Baroncelli (1934).
La Bandera, de Julien Duvivier
(1935), avec Jean Gabin et Annabella. (musique écrite en collaboration avec
Jean Wiéner) Parmi les sites où se procurer le DVD du film : amazon
Les Jumeaux de Brighton, de
Claude Heymann (1936).
Naissance
de Vénus, d’Alexandre Alexeïef (1936). (court-métrage
publicitaire pour les crèmes Simon) DVD de ce film et d’autres films
publicitaires d’Alexandre Alexeïef joint au catalogue de l’exposition
Alexeïef. Parker. Montreurs d’ombres, Les Animés-Éditions de
l’Œil-Communauté de l’agglomération d’Annecy (Musée-Château)-CNC, 2015,
ISBN 978-2-35137-181-7.
Tiré
à quatre épingles, d’Alexandre Alexeïef (1937). (court-métrage
publicitaire pour les vêtements Sigrand) DVD de ce film et d’autres films
publicitaires d’Alexandre Alexeïef joint au catalogue de l’exposition
Alexeïef. Parker. Montreurs d’ombres, Les Animés-Éditions de
l’Œil-Communauté de l’agglomération d’Annecy (Musée-Château)-CNC, 2015,
ISBN 978-2-35137-181-7.
L’étrange Monsieur Victor, de
Jean Grémillon (1938).
Palette
d’artiste, d’Alexandre Alexeïef (1938). (court-métrage
publicitaire pour la société Balatum) DVD de ce film et d’autres films
publicitaires d’Alexandre Alexeïef joint au catalogue de l’exposition
Alexeïef. Parker. Montreurs d’ombres, Les Animés-Éditions de
l’Œil-Communauté de l’agglomération d’Annecy (Musée-Château)-CNC, 2015,
ISBN 978-2-35137-181-7.
Étude
sur l’harmonie des lignes, d’Alexandre Alexeïef et Claire Parker
(1939). (court-métrage publicitaire pour les gaines J. Roussel) DVD de ce film
et d’autres films publicitaires d’Alexandre Alexeïef joint au catalogue de
l’exposition Alexeïef. Parker. Montreurs d’ombres, Les Animés-Éditions
de l’Œil-Communauté de l’agglomération d’Annecy (Musée-Château)-CNC, 2015,
ISBN 978-2-35137-181-7.
CENPA,
d’Alexandre Alexeïef (1939). (court-métrage publicitaire pour les emballages
CENPA) DVD de ce film et d’autres films publicitaires d’Alexandre Alexeïef
joint au catalogue de l’exposition Alexeïef. Parker. Montreurs d’ombres,
Les Animés-Éditions de l’Œil-Communauté de l’agglomération d’Annecy
(Musée-Château)-CNC,
2015, ISBN 978-2-35137-181-7.
Remorques, de Jean Grémillon
(1941), avec Jean Gabin et Michèle Morgan. Parmi les sites où se procurer le
DVD du film : amazon ;
criterion
Les Inconnus dans la maison,
d’Henri Decoin (1942), avec Raimu et Juliette Faber. Parmi les sites où se
procurer le DVD du film : amazon
Lumière d’été, de Jean Grémillon
(1943), avec Madeleine Renaud et Pierre Brasseur. Parmi les sites internet où
se procurer le DVD du film : amazon ;
criterion
Lucrèce, de Léo Joannon (1943).
Le ciel est à vous, de Jean
Grémillon (1944). Parmi les sites internet où se procurer le DVD du film : criterion
Callisto, la petite nymphe de Diane,
dessin animé d’André-Édouard Marty (1944). (musique écrite en collaboration
avec Arthur Honegger)
Principaux éditeurs :
Éditions Musicales Durand-Salabert-Eschig
(Universal Music Publishing Classical)
16, rue des Fossés Saint-Jacques
- 75005 Paris
(+33) [0]1.44.41.50.90
Éditions Musicales Alphonse
Leduc (fonds Heugel)
85, rue Gabriel Péri, 92120
Montrouge
(+33) [0]1.42.96.89.11
Discographie de Roland-Manuel :
Canarie, de l’œuvre collective
L’Éventail de
Jeanne (1929) : CD French Ballet Music, L’Éventail de Jeanne. Les Mariés de la Tour Eiffel, Geoffrey
Simon, Philharmonia Orchestra, label Chandos, 1992 et 2006, titre n°4. Parmi les sites internet où se
procurer l’album : amazon
Jeanne
d’Arc, oratorio (1937/1955) : CD Concert du 14 juin 1960.
Orchestre National de la RTF. Manuel Rosenthal, INA Archives, 2015. Parmi les
sites internet où télécharger l’album : qobuz
La
Rosée, extrait de Benedictiones : CD Ensemble
féminin de musique vocale de Lausanne, Marie-Hélène Dupard Genton, Evasion
Music, 1992 (CD), 2014 (téléchargement), piste 24. Note : l’ensemble vocal
auteur de cet enregistrement est né en 1977 et a cessé ses activités en 1997.
Parmi les sites internet où télécharger l’album : amazon ;
qobuz
Suite dans le goût espagnol (Entradilla, Villancico,
Melodrama, Final), pour hautbois, basson, trompette et
clavecin : 45 tours, Résonances (collection Musique de Notre Temps), 1963.
Ruggero Gerlin, clavecin, Robert Casier, hautbois ; Maurice Allard,
basson ; Roger Delmotte, trompette. Disque numérisé par la BnF
et diffusé le 8/7/2015 par Benjamin Hertz
sur France
Musique.
Trio (1919) : CD Works by Fauré, Ravel and Roland-Manuel, French Delights,
Manchester Music Festival (25th Anniversary), 1999, titres n°5-7.
Parmi les sites internet où se procurer l’album : cdbaby
Archives Roland-Manuel :
Catalogue de la vente aux
enchères du 14 mai 1986 (commissaire-priseur Me Paul Renaud,
Librairie Charavay, Librairie de l’Echiquier, experts Michel et Maryse
Castaing), Hôtel Drouot (salle n°7).
Catalogue de la vente aux
enchères du 24 mars 2000 (commissaire-priseur Me Paul Renaud, expert
Thierry Bodin), Hôtel Drouot (salle n°2).
chercheur sur Maurice
Ravel et ses amis
Si vous pensez détenir
des informations ou documents inédits concernant Roland-Manuel et souhaitez
contribuer à leur divulgation, ou si vous repérez des erreurs dans notre texte
et le catalogue ci-dessus,
prière d’écrire à amisderavel(@)gmail.com
ou par courrier postal
à : Les Amis de Maurice Ravel
32, rue du Maréchal de
Boufflers, F-59350 Saint-André (France)
© Manuel Cornejo,
septembre-novembre 2013 / 2016
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